Notice complète
LESSINES - Bibliothèque communale de Lessines |
LESSINES |
721 A |
1 |
oui |
LES-0014522 |
LESSINES - Bibliothèque communale de Lessines |
LESSINES |
82 31 SAN M |
1 |
oui |
0273884 |
BELOEIL/BASECLES - Bibliothèque communale de Beloeil |
BASECLES |
821.133.1-3 SAN |
1 |
oui |
00007 |
BELOEIL/BASECLES - Bibliothèque communale de Beloeil |
BASECLES |
840-3 SAN 4.0 M |
1 |
oui |
BEL144080 |
TRIVIERES - Bibliothèque communale de Trivières |
TRIVIERES |
8A-SAN-0400 |
1 |
oui |
540316967 |
ATH - Bibliothèque Communale Jean de la Fontaine |
ATH |
RA Réserve Adulte |
1 |
oui |
125226 |
ANDERLUES - Bibliothèque communale Balzac |
ANDERLUES |
821-3 SAN M |
1 |
oui |
LA 904 |
MOLENBEEK - Bibliothèque Béguines |
MOLENBEEK |
8-3 SAN M |
1 |
oui |
0217037025X |
UCCLE - Bibliothèque - Médiathèque Le Phare |
UCCLE |
R-4 SA 626 m |
1 |
oui |
02640307929 |
BOUSSU - Bibliothèque communale de Boussu |
BOUSSU |
A82-31 SAN0432M |
1 |
oui |
BOUBA004969 |
Il n'y a pas de résumé pour cette notice.
Il n'y a pas de citation pour cette notice.
Il n'y a pas de suggestion de lecture pour cette notice.
Il n'y a pas de vidéo pour cette notice sur Babelio.
Il n'y a pas de vidéo pour cette notice sur Libfly.
Il n'y a pas d'audio pour cette notice.
Il n'y a pas de mots clés pour cette notice.
Information non disponible.
A mon avis, le plus achevé des romans champêtres de la dame de Nohant. Sand y réalise une synthèse parfaite de ses idées sur la manière dont il convient de "rendre" la langue paysanne. Ces théories sont expliquées dans la première des deux citations que je donne, qui est extraite de l'avant propos. Elles sont illustrées dans ma seconde citation où l'on trouve des exemples des divers procédés utilisés dans le roman pour trouver un compromis entre une langue authentiquement locale, mais comprise par tous. Dans ce livre, le recours aux particularismes est bien plus abondant et systématique que dans les autres romans champêtres. Les exemples donnés sont extraits du seul premier chapitre, ce qui suffit à démontrer en quoi, quantitativement et qualitativement, ce roman de terroir se distingue des autres textes du même genre où le recours à la langue populaire est beaucoup plus discret (La mare au diable ou François le Champi, La petite fadette ou Le meunier d'Angibault. J'éprouve également une tendresse particulière à l'égard du roman car l'action se déroule dans une région chère à mon coeur, que je connais bien pour l'avoir sillonnée dans ma jeunesse, avec une bande de copains avec lesquels nous écumions les bals de campagne. Cette région se situe à la frontière de l'Allier de du Berry. C'est là que les musiciens Berrichons rencontre les sonneurs bourbonnais qui leur apprendront à jouer de manière plus experte. J'ai d'ailleurs écrit un roman qui est une sorte d'hommage aux Maîtres sonneurs dans la mesure ou le narrateurs et les personnages s'expriment dans le sabir local, d'une manière beaucoup plus grivoise et pichrocholine que dans le texte sandien il est vrai. Si l'on veut prendre connaissance de ma version plus contemporaine du parler de ces confins déjà un peu berrichons du bourbonnais, il suffira d'aller sur mon blog dont l'adresse est donnée ci-dessous. Une fois sur le site, cliquer sur le lien "Le prince des parquets salons", situé en bas de la colonne de droite, sous le sous titre : "Un roman de jcf".
Consulter sur Babelio