Notice complète
BASTOGNE - Bibliothèque et ludothèque de Bastogne -Bertogne-Houffalize |
BASTOGNE |
P 82-3 SANR |
1 |
oui |
L 20839 |
WAREMME - Bibliothèque libre de Waremme |
x |
8A2 SANANR |
1 |
oui |
4300W1097717 |
GEER (WAREMME) - Bibliothèque de Geer |
WAREMME |
8A2 SANANR |
1 |
oui |
4300H1005182 |
LAEKEN - Bibliothèque de Laeken |
LAEKEN |
84-3 SAN 0114 |
1 |
oui |
02370767688 |
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Dixième volume de la série (sans compter « Réglez-lui son compte » paru en 1949 et un peu atypique), « Rue des macchabées », paru en 1954, introduit le commissaire San Antonio un peu plus avant dans le monde de la PJ ; lui qui était plutôt enclin à traquer les anciens nazis ou les techniciens collaborateurs du IIIe Reich dans les premiers romans On assiste ici à une enquête criminelle classique, menée par un Commissaire pressé que d'autres affaires beaucoup plus importantes attendent. L'affaire débute au Centre de Chèques Postaux ou San A se rend retirer de l'artiche pour sa brave femme de mère, Félicie. Devant lui, au guichet, un duo dont on apprendra plus tard qu'il s'agit de Ludovic Balmin, antiquaire et de Jean Parieux, un ami de celui-ci. Ils retirent un million (!) et laissent sur place un talon de chèque sur lequel est inscrit : « au secours ». Sortant du Centre de chèques postaux, San A découvre Balmin, mort dans la voiture de Tarieux, disparu San Antonio nous rappelle qu'il est un éminent membre des Services Secrets Mais, lui, vous le connaissez « Rue des macchabées » n'est pas encore un San Antonio à part entière. Le commissaire agit seul, pas de Béru ni de Pinaud, personnages sur lesquels, plus tard, Frédéric Dard, « ancrera la truculence du récit ». On a là un roman policier de gare classique, un peu sec, malgré quelques saillies du commissaire qui préparent les « grandes envolées lyriques » des années 65-75. Le meilleur est à venir.
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