Peintre des Indiens comme, un siècle plus tard, Edward Sheriff Curtis fut leur photographe, George Catlin (1796-1872) a voué sa vie et son oeuvre à un peuple qu'il pressentait menacé de disparition. Très tôt il abandonne le droit pour se consacrer à la peinture. Sa rencontre, à Philadelphie, avec une délégation de chefs indiens venus dans l'Est lors d'un traité le marque profondément. Au début des années 1830, il parcourt en tous sens l'Ouest américain, s'aventurant à l'intérieur de territoires inexplorés où il rencontre une cinquantaine de tribus. Pendant huit ans, il observe et note tout en témoin privilégié. Ce livre est le récit de cet extraordinaire voyage. II décrit des paysages grandioses, une flore et une faune uniques, mais surtout, conquis par leur dignité, leur beauté, leur indépendance naturelles, il s'attache aux Indiens. A travers les scènes de la vie quotidienne, de la chasse et de la guerre, les coutumes, les cérémonies religieuses, c'est tout un monde qu'il immortalise par sa peinture et ses écrits. Ce texte qui n'avait pas été publié dans son intégralité depuis plus d'un siècle constitue un document historique et ethnologique inestimable.© 4e de couv.
Georges catlin a rencontrer les indiens des plaine avant le début de l extinction notamment les mandans, parmi lequel il y a trouver des blond au yeux bleu, faisant la liaisons avec la colonie galloise disparue au 14 e siècle, hélas les mandans ont étés décimés totalement par la variole quatre ou cinq ans plus tard ,personne ne saura jamais si il y avait du croisement entre eux et les gallois, la théorie de catlin tiens pourtant la route .mystère..
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