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« Malgré tout ce que renfermait le passé, le pire était encore à venir. » Londres, dans les années 20. Geoffrey Staddon apprend dans la presse, que Consuela Caswell, accusée du meurtre de sa nièce et d'une tentative sur la personne de son mari, risque la peine de mort. Geoffrey se souvient…. Il y a une dizaine d'année, alors qu'il est jeune architecte, il se voit confier la conception d'une demeure pour le compte d'un riche industriel Victor Caswell, marié à Consuella. Geoffrey, se souvient de sa rencontre avec la belle brésilienne, et de la liaison aussi brève que passionnée qu'il eût avec elle. Fort de ces souvenir, mais, et surtout submergé de remords, et de culpabilité, sans doute convaincu de lâcheté, Geoffrey se fait un honneur de sortir Consuella des geôles anglaises, de lui éviter la peine de mort en prouvant son innocence et retrouvant le ou les coupables. Ce thriller a une saveur toute britannique. Plongé dans une atmosphère post-victorienne peuplée de personnages aussi irritant que subjuguant, se déguste d'abord parce qu'il faut lui laisser le temps de s'installer, puis se dévore. Nous partons à la rencontre d'une société coincée, dont les codes intriguent et nous font rager. Robert Goddard nous fait partager les secrets, et les vilénies d'une classe sociale prête à tout pour sauver les apparences. Il nous dresse le portrait de personnages complexes qui ne laissent jamais indifférents. J'ai également apprécié la langue de l'auteur (saluons la traduction) parfaitement adaptée à l'époque, et au contexte, ainsi que le rythme qui va croissant au fur et à mesure que le temps nous rapproche de l'exécution de Consuella." Sans un adieu " se termine comme une course contre la montre semée d'embuches et de rebondissements. Du très bon thriller historique !
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Ce n'est pas le meilleur titre de Robert Goddard, ni celui que je préfère - ses autres romans "le retour" ; "Le Secret d'Edwin Strafford" ; "Heather Mallander a disparu sont nettement supérieurs à celui ci - mais le style si particulier de l'auteur fait que l'on se laisse prendre au jeu. En effet, le suspense est "insoutenable", les indices distillés au compte goutte afin de mieux perdre, mieux mener en bateau le lecteur à la suite du héros, font que l'on lit cet énorme pavé (659 pages) jusqu'au bout. Autre petit bémol qui m'a également gêné, certaines longueurs qui n'auraient pas méritée d'être. Conclusion, la lecture s'essouffle quelque peu en cours de route Mais cela reste malgré tout, un excellent policier "psychologique", aux multiples rebondissements, avec une intrigue ficelée à souhait, et, un dénouement digne de ce nom. Et son auteur (Robert Goddard) mérite d'être un peu mieux connu en France.
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J'ai découvert Robert Goddard avec ce livre qui n'est apparemment pas son meilleur et j'ai trouvé ce bouquin terriblement long et ennuyeux, j'ai mis 10 jours à en venir à bout. L'histoire est pourtant intéressante Geoffrey jeune architecte doit construite une maison pour un homme aisé, celui-ci est en couple avec une brésilienne Consuela qu'il délaisse très souvent. Geoffrey et Consuela va sont rapprocher et envisagé de tout quitter pour vivre leur amour. Malheureusement cela ne se fait pas, quelques années plus tard Geoffrey marié et dont la carrière se tari suite à l'incendie d'un hôtel construit par ses soins va tomber sur un article qui parle de la condamnation de Consuela. Celle-ci est accusée d'avoir empoisonné à l'arsenic sa nièce (qui en décède) et son mari (qui en a pris une quantité moindre et en réchappe). Dès lors Geoffrey va tout faire pour défendre Consuela et chercher la vérité sur cette affaire. Sur ces 650 pages il y en a bien 300 de trop ce qui fait que l'on a l'impression à certain moment de faire du sur-place.
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